Le scénario est maigre mais les dialogues claquent et les acteurs, de Blier à Girardot, emportent le morceau.
Un pur divertissement qui distille un certain charme avec une brochette d'acteurs qu'on prend plaisir à voir.
Dans l'univers de la communication planétaire - audiovisuel, téléphonie, internet… -, une formidable bataille idéologique, technologique et démocratique est engagée. Et les opérateurs du multimédia procèdent, mine de rien, à un véritable rapt.
Plusieurs milliers d'auteurs, stars ou inconnus, ont eu la désagréable surprise de recevoir des droits sérieusement amputés. Et qui spolie ainsi tous ces créateurs qui oeuvrent pour le groupe Canal+ ? Vincent Bolloré.